15 janvier 2010
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Bon, partons du postulat suivant : The Fall est un groupe pratique. Il permet aux roques critiques de dégainer un nom prestigieux quand leurs cervelles peinent à cerner un artiste, The Fall ayant signé tellement d’albums au cours de sa riche carrière et embrassé tant de styles sans galvauder son auréole arty que, bon an mal an, son estampille fait l’affaire.
Poursuivons avec ce nouveau postulat Si The Fall compte un bon paquet de fans à travers le monde, rares sont ceux qui s’accordent autour d’un album. Pour certain, ce sera tel disque, et ils n’en démordront pas. Personne ne s’écoutant, ils auront de toute manière raison. Néanmoins, nous savons, nous, temple du bon goût et des légumes surgelés, que le meilleur opus de The Fall se nomme Extricate. Une œuvre fabuleuse, fascinante, pleines de pistes mélodieuses ou proprement irritantes, mais une des rares choses publiées en 1990 qui n’a pas pris une ride, fils !
Un nouveau postulat ? Le groupe au personnel mouvant, fondé en 1976 et guidé par l’intense Mark E. Smith, n’est pas un modèle pour les jeunes artistes. Trop de production, un positionnement flou, n’importe quoi sur disque, grand n’importe quoi sur scène. Ceci dit, vu d’ici et sans prétentions carriéristes, à l’image de cet autre modèle, celui offert par Mark nous botte, mon pote. Et qu’importe si le passage de l’album au live est calamiteux. Certains diront même que ce plantage est carrément merveilleux. On y va !
Poursuivons avec ce nouveau postulat Si The Fall compte un bon paquet de fans à travers le monde, rares sont ceux qui s’accordent autour d’un album. Pour certain, ce sera tel disque, et ils n’en démordront pas. Personne ne s’écoutant, ils auront de toute manière raison. Néanmoins, nous savons, nous, temple du bon goût et des légumes surgelés, que le meilleur opus de The Fall se nomme Extricate. Une œuvre fabuleuse, fascinante, pleines de pistes mélodieuses ou proprement irritantes, mais une des rares choses publiées en 1990 qui n’a pas pris une ride, fils !
Un nouveau postulat ? Le groupe au personnel mouvant, fondé en 1976 et guidé par l’intense Mark E. Smith, n’est pas un modèle pour les jeunes artistes. Trop de production, un positionnement flou, n’importe quoi sur disque, grand n’importe quoi sur scène. Ceci dit, vu d’ici et sans prétentions carriéristes, à l’image de cet autre modèle, celui offert par Mark nous botte, mon pote. Et qu’importe si le passage de l’album au live est calamiteux. Certains diront même que ce plantage est carrément merveilleux. On y va !